Lectus du 9 Janvier

Œuvre très connue.
Auteur très connu.
Quatre chapitres composent ce livre de 448 pages dans l’édition ‘le livre de poche’.
J’ai choisi de vous proposer le premier paragraphe de chaque chapitre
Voici donc le 1er extrait :
Chapitre I
p5

Citation :

Voici comment Wang Yuan, fils de Wang le Tigre, entra pour la première fois dans la vie de la maison de terre de son grand-père Wang Lung….
Wang Yuan avait dix neuf ans quand il revint du midi pour se quereller avec son père. Une nuit d’hiver, alors que la neige poussée par le vent frappait de temps à autre contre les persiennes, le Tigre, seul dans sa grande chambre, méditait comme il aimait le faire devant les braises de son brasero ; il rêvait que son fils reviendrait un jour à la maison, homme fait, prêt à conduire les armées de son père à des victoires telles que lui, le Tigre, avait projetées mais que l’âge l’avait empêché de réaliser. Et ce fut cette nuit que Wang Yuan, fils du Tigre, revint à la maison quand personne ne l’attendait.

[…] p174

Bon, j'ai fouillé, trouvé kèque chos', mépétisé,

plus qu'à attendre le verdict

J'ai deux bonnes réponses pour l'auteur, mais pas encore le bon titre...
Mais demain, nouvel extrait, ne paniquez pas!

Chapitre II
P175

Citation :

Wang Yuan était dans sa vingtième année quand il quitta son pays, mais il était encore, sous beaucoup de rapports, un enfant plein de rêves confus et de projets à peine ébauchés qu’il ne savait comment terminer, ni même s’il voulait vraiment les terminer .Toute sa vie, il avait été gardé, surveillé et soigné par quelqu’un, et il ne connaissait rien d’autre de la vie, et si l’on exceptait les trois jours passés en prison, il ne savait pas vraiment ce qu’était le malheur.

[…] p274

(i m'enerveeeee)

Chapitre III
P274

Citation :

De même que Yuan, dans son enfance, avait, tout à la fois aimé et haï son père, de même, maintenant , il quittait ce pays étranger en l’aimant et en le haïssant tout ensemble . Il ne pouvait s’empêcher de l’aimer, même contre son gré, comme il est normal d’aimer une chose, belle, jeune et forte. Il aimait la beauté, et c’est pour cela qu’il aimait les arbres sur les montagnes, les près que ne venaient point gâter les tombes des morts, et les animaux bien nourris, sains et satisfaits dans les campagnes et les villes propres et confortables. En même temps il n’aimait point toutes ces choses, car, si elles étaient belles, alors qu’il n’était point sûr qu’il puisse y avoir de la beauté dans les collines dénudées de son pays et qu’il ne fût pas mauvais que les morts fussent enterrés dans la bonne terre des vivants, au milieu des champs, comme cela se faisait encore dans son pays.

[…] p360

J'arrive pô à crouver le bouquin

cherokee a écrit:

J'arrive pô à crouver le bouquin

t'es comme Hzchoc, tu as trouvé dans la globalité et pas dans le détail, ce que je demande, c'est le titre D'UN livre

je vous laisse chercher, j' abandonne

Chapitre IV
P361

Citation :

Dès le lendemain, deux incidents donnèrent une nouvelle orientation à la vie de Yuan. La dame lui dit de bonne heure le matin ; » Mon fils, il est préférable que vous ne viviez plus dans cette maison, pendant quelques temps. Pensez un peu combien il est pénible pour Mei-ling de vous voir journellement, sachant le sentiment que vous avez pour elle. »
Et Yuan répondit avec un peu de la colère de la veille.
« Je sais fort bien car je sens la même chose. Je crois que je veux être là où je ne la verrai point chaque jour et où je n’aurai point besoin de me rappeler chaque fois que je la verrai ou que j’entendrai sa voix , qu’elle ne veut point de moi. »

dernier chapitre, demain, je vous mets les dernieres phrases du livre, je n'ai toujours qu'une bonne réponse entiere plus deux réponses bonnes aux 2/3! (inutile de vous associer, il vous manque le même tiers)

Je connais, j'ai lu, étant plus jeune, je crois d'ailleurs avoir lu tous les livres de cet auteur. Je mépetise donc!

Citation :

"Nous deux - dit-il enfin - nous deux...nous ne devons avoir peur de rien."

point final!
et quelques mots sur l'auteur demain...

écrivain américain.
elle n'a que 3 ansquand ses parents missionnaires partent en Chine près de Chinkiang, puis à Shanghaï.
Elle va alors apprendre le chinois.
Elle fait ses études universitaires en Virginie, puis retourne en Chine. La révolution la pousse à revenir aux Etats-Unis
Une grande partie de son œuvre est inspirée de la chine

Le livre à découvrir date de 1935

jamais deux sans trois....j'ai mépétisé encore une fois!!!

on verra bin!!!

Afin que son fils Yuan devienne un seigneur de guerre comme lui, Wang le Tigre l'a envoyé dans une école du Sud où l'on enseigne les méthodes importées d'Occident. Yuan s'enfuit pour se soustraire à la volonté de son père et se trouve en contact avec les révolutionnaires. Mais ce fils de guerrier a l'amour de la terre. Cette "cause" dont tous parlent, est-ce bien la sienne ? Dans un pays en pleine métamorphose, Yuan cherche sa voie, perdu entre un monde qu'il refuse et un monde qu'il n'accepte pas encore, celui de la Chine moderne, dont Pearl Buck décrit magistralement les premiers pas. La Famille dispersée est le dernier roman de la célèbre trilogie qui dépeint la terre chinoise. Les deux autres volets sont : La Terre chinoise, Les Fils de Wang Lung.

Et ont trouvé:
Horgnes- Momo- Cherokee( sur le fil) et presque Hzchoc





si kk1 veux prendre la place, je n'aurai pas le temps cette semaine, ni la suivante...